Nous sommes très heureux d’annoncer la nomination de JD Richard au poste de directeur général de SkyAlyne.
JD possède plus de 35 ans d’expérience dans les secteurs de l’aéronautique et de la défense, où il a occupé des postes de direction en développement des affaires, ingénierie et soutien des produits, dans différents programmes nationaux et internationaux complexes d’acquisition et de soutien à long terme pour L3Harris WESCAM Inc, General Dynamics Mission Systems Canada et IMP Aerospace.
Il occupait récemment le poste de vice-président, Soutien à la clientèle de L3Harris WESCAM Inc. Dans le cadre de ses fonctions, il a dirigé et développé les activités de service à la clientèle de la société tout en respectant ou en dépassant les exigences de soutien à long terme des produits pour les clients internationaux de la société. Son périmètre de responsabilité comprenait 12 centres de service au Canada, aux États-Unis, en Asie, en Europe, en Australie et au Moyen-Orient.
JD est également un vétéran des Forces armées canadiennes où il a servi comme officier breveté dans le Corps blindé. Il est membre de longue date de l’Association canadienne des ingénieurs professionnels.
Préparer l’avenir
La mission de SkyAlyne consiste à fournir à l’Aviation royale canadienne les solutions de formation les meilleures et les plus innovatrices, tout en réduisant au minimum les risques de transition et en optimisant les retombées économiques et stratégiques pour le Canada. En prévision du lancement imminent de la demande de proposition (DDP) officielle du Programme de formation du personnel navigant de l’avenir (FAcT), nous avons souhaité renforcer une équipe de direction déjà solide par cet apport d’expérience et de savoir-faire considérable.
La vision stratégique et l’expérience opérationnelle de JD aidera SkyAlyne non seulement à remporter le marché FAcT, mais aussi à mettre en œuvre une solution immédiate et hautement efficace pour le Canada et l’ARC.
Cinq questions à JD Richard, nouveau directeur général de SkyAlyne
- Commençons par les plus difficiles : à quoi correspondent les lettre JD de votre nom?« J » et « D » sont les initiales de deux prénoms canadiens français très courants. Ma généalogie – comme celle du très célèbre Maurice « Rocket » Richard – remonte au débarquement du premier « Richard » du Canada à la forteresse de Louisbourg, en Nouvelle-Écosse, en 1661. Maintenant, si vous pouvez deviner mes prénoms, je vous offre le café!
- Comment avez-vous atterri ici, à SkyAlyne? En d’autres termes, qu’est-ce qui vous a attiré dans ce rôle et dans cette organisation?
Avant tout, la possibilité de soutenir la candidature de SkyAlyne au programme FAcT, après ma (brève) retraite de L3Harris, m’a profondément motivé. Après un échange téléphonique avec la direction de CAE à Ottawa, je n’ai pu m’empêcher de relever ce superbe défi. Ce poste de direction générale me donnait la chance d’animer de nouveau une équipe de professionnels réputés dans les secteurs canadien de l’aéronautique et de la défense, de remporter et de réaliser le projet FAcT, et enfin de construire l’avenir de SkyAlyne. - Vous avez travaillé plus de 35 ans dans les secteurs de l’aéronautique et de la défense, notamment à la direction de groupes d’assistance clients. À votre avis, qu’est-ce qui détermine le succès des relations entre une entreprise et ses clients?
Il faut tout simplement s’attacher à comprendre et à respecter le client. Il faut être honnête et direct dans nos communications et toujours assurer le suivi des échanges. Une relation commerciale repose d’abord sur les personnes, puis sur les documents. Le respect des engagements ouvre la première porte. Par la suite, l’atteinte des objectifs par une collaboration ciblée permet de garder cette porte ouverte et d’ouvrir la suivante.Je me répète toujours cette citation : « La vente consiste à placer le produit chez le client, mais c’est le service après-vente qui en détermine l’avenir commercial ». C’est pourquoi je suis heureux d’être ici à SkyAlyne. Cette équipe comprend bien qu’il faut être à l’écoute du client pour construire l’avenir. - Selon vous, quelle est la meilleure philosophie de gestion pour des équipes nombreuses et diverses?Tout d’abord, l’équipe doit avoir une mission claire qui vise un résultat bien défini. Cela permet au groupe, quelle que soit sa taille, de converger vers un objectif commun. Ensuite, une communication ouverte, fréquente et bidirectionnelle permet d’entretenir la compréhension et la confiance et d’engendrer une dynamique de collaboration. Enfin, tous les niveaux de direction doivent être à l’écoute des problèmes, soutenir la pensée innovante et, surtout, respecter tous les membres de l’équipe pour ce qu’ils sont et pour leur contribution au succès commun. Je me soucie vraiment de mes collaborateurs et j’aime les connaître personnellement, quel que soit leur nombre. C’est cette philosophie qui oriente mon travail et ma direction d’équipe.
- Où habitez-vous, et à quoi consacrez-vous vos temps libres?J’habite à Stittsville, dans l’ouest d’Ottawa, avec une épouse très compréhensive. J’ai deux fils diplômés du Collège militaire royal du Canada qui ont intégré les Forces armées canadiennes, et une fille qui est enseignante, une profession qui pose assurément de plus grands défis que le travail de soldat! J’ai aussi pas mal de petits-enfants qui semblent apparaître de temps en temps.Pendant mes temps libres, je continue de jouer de la guitare, un amour de jeunesse que je continue de cultiver. Je répare aussi des montres de poche anciennes de la fin des années 1900. C’est une vraie aventure, un art presque oublié qui m’a toujours passionné. Je pratique le golf car c’est un sport qui teste notre tempérament. J’aime aussi le kayak, la pêche et la lecture d’un bon livre. J’ai tendance à préférer les biographies et les ouvrages sur les affaires et les techniques de direction (quand j’arrive à m’échapper quelques heures de mon travail).
